Les autorités sanitaires de la région de Beni-Butembo et Lubero(Nord-Kivu) ont rapporté, vendredi 12 avril, avoir atteint 100 % d’enfants ciblés par la campagne de vaccination contre la poliomyélite qui s’est clôturée officiellement mercredi dernier. Malgré quelques cas de résistance de certains parents et l’insécurité, tous les enfants de 0 à 59 mois ont été vaccinés, affirme le docteur Michel Tosalisana, médecin chef de la zone de santé de Beni.

Il explique que dans sa juridiction, la campagne de vaccination contre la poliomyélite s’est clôturée officiellement mercredi. Le quatrième jour, jeudi, était considéré comme journée de récupération pour les enfants qui n’avaient pas encore reçu leurs doses.

Dr Michel Tosalisana, médecin chef de la zone de santé affirme que la cible a été atteinte à 100 %. L’objectif était de vacciner au moins cent seize mille enfants de 0 à 59 mois. Cependant, ajoute-t-il, quelques réticences rencontrées dans les aires de santé comme Butsili et Ngongolio ont été vaincues après échanges avec la communauté.

Par ailleurs, dans la zone de santé de Mangurejipa dans le territoire de Lubero, la campagne de vaccination va se poursuivre jusqu’à dimanche prochain. Le médecin chef de cette zone de santé, docteur Martial Kambumbu justifie cette prolongation par des difficultés des agents vaccinateurs d’accéder à certains villages enclavés.

Il affirme toutefois que jusque-là, les vaccinateurs ont atteint 105 % du nombre d’enfants attendus.

Dans le village d’Egombo où un chef milicien Mai-Mai avait chassé les agents vaccinateurs, les enfants ont été finalement vaccinés, après un plaidoyer des leaders communautaires, ajoute le médecin chef de la zone de santé de Mangurejipa. 

radiookapi.net/CC



Un examen des pratiques d'allaitement, mené par l'UNICEF et l'OMS en collaboration avec le Collectif mondial pour l'allaitement maternel les 10 dernières années, révèle que dans 194 pays, seuls 40 % des enfants de moins de six mois sont allaités exclusivement au sein (c'est-à-dire qu'ils ont pour seule alimentation le lait maternel) et que seuls 23 pays ont des taux d'allaitement exclusif au sein supérieurs à 60 %. Le Deskfemme d'Actualités.cd a contacté à ce sujet Marie Chantal Kankolongo, sage femme. Elle revient sur l'importance de l'allaitement maternel dans la croissance du nourrisson.

Madame Marie Chantal Kankolongo, quelle importance peut avoir le lait maternel pour la croissance et le développement du nourrisson ?

Marie Chantal Kankolongo Le lait maternel fournit tout ce dont le bébé a besoin, surtout durant les 6 premiers mois de sa vie. Ce lait est riche en vitamines, en graisses, en protéines, en sucre et s'adapte au besoin nutritionnel qui change dans l'organisme du bébé. Il protège également le bébé contre des maladies. Par l'allaitement, la maman transmet ses propres anticorps au bébé, ce qui le protège efficacement contre les microbes. Grâce à cela, avant deux ans, le bébé allaité a en moyenne moins d'otites, d'infections gastro-intestinales ou respiratoires.

Existe-t-il des éléments spécifiques dans le lait maternel qui ne se retrouvent pas dans les laits maternisés et qui sont importants pour le développement du nourrisson ?

Marie Chantal Kankolongo : Pour paraphraser le célèbre pédiatre Paul Gyorgy, qui disait : « Le lait de vache est bon pour le petit de la vache, le lait de femme est bon pour le nourrisson. » Dans le lait maternel, il y a tout ce qui est important pour la croissance et le développement de l'enfant. 

Y a-t-il des avantages à long terme de l'allaitement maternel pour la santé de l'enfant ?

Marie Chantal Kankolongo : une étude scientifique a démontré que les enfants nourris exclusivement au lait maternel grandissent normalement, résistent mieux aux épidémies et présentent moins de problèmes de santé, d'allergie, d'obésité par rapport aux enfants nourris au lait de vache qui font facilement la diarrhée et tombent facilement malades. 

Quels sont les principaux défis et obstacles que rencontrent les femmes qui allaitent ?

Marie Chantal Kankolongo : Les femmes qui allaitent ont plusieurs défis : (i) celles qui travaillent rencontrent des difficultés pour respecter l'allaitement exclusif, (ii) un autre défi est lié au fait que certaines femmes ont des seins avec des crevasses et douloureux ; (iii) celles qui accouchent connaissent des fois le problème de la montée laiteuse qui tarde à venir.

Que peut-on faire pour soutenir les femmes qui allaitent et les aider à surmonter ces défis ?

Marie Chantal Kankolongo Pour surmonter ces défis et obstacles, on conseille aux femmes qui travaillent d'allaiter les enfants plus la nuit et de presser le lait maternel dans une tasse en porcelaine bien couverte pour nourrir le bébé pendant que la maman est au travail. Pour les femmes qui rencontrent des difficultés de la montée laiteuse ou des seins avec des crevasses, on applique les compresses chaudes sur les seins de la femme, soit on utilise un tire-lait ou une seringue pour extraire le lait. On recommande aux femmes depuis les CPN de demander à leurs conjoints de sucer les seins pour préparer la montée laiteuse.

Selon vous, quelles sont les actions les plus importantes à mener pour promouvoir et encourager l'allaitement maternel ?

Marie Chantal Kankolongo Pour promouvoir l'allaitement maternel, il faut sensibiliser les femmes depuis les CPN et leur parler des dix bonnes raisons pour allaiter le bébé, à savoir : 

1. Le bébé aura une nutrition parfaite 2. Le bébé sera mieux protégé contre les épidémies et les maladies  3. Le bébé aura un développement cognitif considérable. 4. Le lait maternel est prêt et portable, ça ne demande aucune manipulation. 5. La taille du sein n'a pas d'incidence sur la qualité du lait maternel. 6. Pour les mères, l'allaitement maternel est aussi un moyen contraceptif qui participe à la planification familiale. 7. Ça protège les femmes contre les cancers des seins et des ovaires (l'allaitement réduit à 28 % le risque de cancer chez les femmes), le diabète et les maladies cardiaques. 8. Le lait maternel favorise un établissement d'une relation spéciale entre la mère et le bébé. 9. Le lait maternel est bon pour la planète, il ne nécessite pas d'emballage pouvant polluer l'environnement. 10. Le lait maternel permet à la famille de réduire les dépenses et d'économiser. Il faut savoir que le lait maternel est constitué à plus de 80 % de l'eau, les autres nutriments comprennent le reste du pourcentage. Il y a donc suffisamment d'eau dans le lait maternel pour la croissance et le développement du bébé. Il faut donc encourager les femmes depuis les CPN à donner exclusivement le lait maternel au bébé les six premiers mois en leur expliquant les bienfaits du lait maternel.

Avez-vous un message à transmettre aux femmes qui envisagent d'allaiter ou qui allaitent déjà ?

Marie Chantal Kankolongo : nous encourageons les femmes qui allaitent déjà à continuer et à persévérer dans cette pratique, car elle contribue au développement de l'enfant. Aux femmes qui refusent d'allaiter pour garder la poitrine en forme, il faut privilégier le bien-être de l'enfant. Si on aime son bébé, on doit par moment s'oublier. 

Propos recueillis par Nancy Clémence Tshimueneka



Médecins Sans Frontières (MSF) signale une hausse alarmante des cas de choléra dans ses centres de prise en charge, soulignant une inadéquation criante entre les réponses humanitaires actuelles et les besoins croissants en eau, hygiène et assainissement, au Nord-Kivu. La situation est particulièrement préoccupante dans les camps de déplacés autour de Goma, exacerbée par les conflits récents qui ont poussé des milliers de personnes à l'errance, les forçant à trouver refuge dans des conditions sanitaires déplorables.

Selon Jimmy Matumona, chef de mission adjoint de l’organisation, les installations sanitaires insuffisantes, notamment un manque flagrant de latrines et de douches, ainsi que des problèmes persistants d'accès à l'eau potable, ont conduit à une augmentation des cas de choléra. En réponse à cette urgence, MSF a intensifié ses efforts, établissant des unités de traitement du choléra et engageant des actions ciblées pour combattre l'épidémie, notamment dans les aires de santé de Buhimba et Kanyarutshinia où plus de 525 patients ont été traités au cours des cinq dernières semaines.

Face à la propagation rapide de la maladie, aggravée par la consommation d'eau non traitée et des conditions d'hygiène précaires, MSF appelle à une mobilisation massive des acteurs humanitaires et des autorités pour répondre efficacement à la crise. L'organisation souligne la nécessité urgente de construire des infrastructures sanitaires adéquates, telles que des latrines et des douches, et d'assurer un approvisionnement régulier en eau potable.

MSF a déjà réalisé des progrès significatifs, avec la construction de plus d'un millier de latrines, près de 500 douches, et l'installation de stations de pompage et de traitement de l'eau près des lacs, ainsi qu'une station pour le traitement des déchets fécaux. Ces mesures visent à offrir un accès permanent à l'eau potable et à améliorer les conditions d'hygiène pour les populations vulnérables vivant dans des conditions extrêmement difficiles.

Toutefois, malgré ces efforts, MSF note un désengagement de certains acteurs humanitaires, en particulier dans la région nord de Goma, et insiste sur la nécessité d'une réponse coordonnée et multisectorielle pour éviter une catastrophe sanitaire. L'évaluation des besoins se poursuit, et MSF reste pleinement engagé à adapter et à renforcer sa réponse opérationnelle dans les territoires affectés, y compris Masisi, Rutshuru, et au Sud Kivu, où les besoins médico-humanitaires restent importants.

actualite.cd/CC



La tuberculose a fait 251 décès sur 6 974 cas enregistrés en 2022 dans la province de la Tshopo, a indiqué la coordination provinciale de lutte contre la tuberculose et la lèpre à l’occasion de la journée internationale de lutte contre cette maladie célébrée le 24 mars. Au regard de sa vulnérabilité, la province a mis en place un dispositif de lutte contre la maladie offrant un traitement gratuit.

« Le  traitement de la tuberculose est tout à fait gratuit dans toutes les  23 zones de santé de la Tshopo. La province dispose d'une quantité importante de vaccins pour les administrer aux nouveaux nés,  c'est grâce à l'appui du gouvernement central. Avec la nouvelle technologie, les examens se font aussi à partir des selles  pour les enfants de 0 à 14 ans », a dit le docteur Massou Owekelokato  Basomboli, coordonnateur provincial de lèpre et tuberculose dans la Tshopo.

Selon ce médecin, sur l’ensemble du pays, 4 352 personnes sont décédées de la tuberculose en 2022.

La tuberculose qui reste un problème de santé publique est une infection causée par le bacille de koch. Cette maladie présente les signes suivants : la toux persistante, la transpiration nocturne, la fièvre, la nausée et l'amaigrissement. Le traitement de la tuberculose peut aller jusqu’à 18 mois. Le thème national retenu cette année pour lutter contre cette maladie est : "Oui, ensemble nous pouvons mettre fin à la tuberculose en RDC".

 Gabriel Makabu, à Kisangani



La consommation régulière de l’huile de palme a un effet protecteur sur l’organisme à cause des acides gras qu’elle contient.

La noix de palme est une graine qui vient du palme. Elle peut être déconseillée à certaines personnes mais toujours est-il qu’elle dispose d’assez vertus, selon certains nutritionnistes.

Le palmier dispose d’assez de dérivées, toutes utiles pour le bien être sanitaire. S’agissant deses vertus, elles sont innombrables tant pour l’être humain en général que pour le sportif en particulier.

« Les noix de palme ont beaucoup de vertus. Il faut savoir que c'est une noix oléagineuse. On les appelle aussi les fruits secs oléagineux, riche en lycopène, et en vitamine A, riche en acides gras insaturés, favorise la bonne mémoire parce qu’elle contient un peu de la vitamine B.

Selon une étude menée par les chercheurs en 2013, c'est une forme de vitamine E qui protégerait les cellules du cerveau. Elle prévient certaines maladies comme les cancers et aiderait à réduire le cholestérol. L'huile de palme contient des acides gras saturés, particulièrement l'acide palmitique qui lui donne sa consistance semi-solide à température ambiante.

Très consommée dans la sous-région ouest africaine, l’huile de palme est une huile extraite de la noix de palme. Elle intervient dans beaucoup de nos plats mais ses multiples apports sur la santé sont méconnus.

Selon les scientifiques, l’huile de palme communément appelée « l’huile rouge » est considérée comme l’aliment naturel le plus riche en vitamine A. Elle en contient environ 15 fois plus que la carotte.

Des vertus anti-rides

La consommation régulière de cette huile a également un effet protecteur sur l’organisme à cause des acides gras qu’elle contient. Elle est aussi bénéfique pour les femmes ménopausées, enceinte et peut être même utilisée contre l’ostéoporose.

Au niveau cutané, la vitamine A participe à l’hydratation de la peau et active la production de mélanine. Elle a également des vertus anti-rides. Le betâ-carotène, un dérivé de la vitamine A, est surtout connu pour donner un joli teint hâlé. C’est pourquoi l’huile de palme est très utilisée en Occident dans les cosmétiques notamment les fonds de teints.

Elle est très résistante à l’oxydation, supporte des températures élevées – jusqu’à 180 degrés, et reste solide à température ambiante.

L’huile de palme favorise la bonne mémoire

En soin cosmétique, l’huile de palme se réclame d’autres propriétés. En effet, appliquée avant le shampooing, elle ravive les pointes et donne du soyeux à la chevelure. En bain d’huile, elle est excellente. Ses actifs naturels sont également parfaits pour préserver la nature du cheveu.

Mais attention pour profiter au maximum des bienfaits de l’huile de palme, il faut l’utiliser au naturel : elle ne doit être ni raffinée ni traitée.

Riche en acides gras insaturés, elle favorise la bonne mémoire parce que contenant un peu de la vitamine B. Cela fait partie des macros nutriments dont on a besoin en permanence », a révélé Patrick Zinvoedo, Diététicien de formation qui ajoute : « De même, ce sont des lipides dans la catégorie des acides gras insaturés dont le cœur a besoin et aussi les vaisseaux sanguins pour un bon fonctionnement et produisent de l’énergie à l’organisme, aux muscles et aux tissus. Donc la noix de palme est naturelle pour la santé. Les noix de palmes, procurent de l’acide gras dont les sportifs ont besoin pour le bon fonctionnement des cellules,  elles donnent de l’énergie ».

À l’en croire, la noix de palme prend du temps avant de produire de mauvais cholestérol si l’individu n’en abuse pas de trop.

Nourrissante et protectrice

Par ailleurs, tirée de la pulpe du fruit du palmier à huile, l’huile de palme se distingue de l’huile de palmiste, qui est extraite du noyau. On peut également différencier l’huile de palme et l’huile de palme rouge, qui n’est pas raffinée et qui est la plus riche en carotène. « Pour profiter de toutes les propriétés de l’huile de palme tout en préservant l’environnement, on ne peut que conseiller aux consommateurs d’être particulièrement stricts sur la qualité de l’huile utilisée et sur son mode de production », a déclaré le diététicien.

Nourrissante et protectrice, l’huile de palme est particulièrement hydratante, et c’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle est beaucoup utilisée en savonnerie. Elle protège notamment les cheveux contre la déshydratation, tout en leur apportant douceur et brillance.

Corneille Kinsala Nsoki, Phytothérapeute



La campagne de vaccination contre la poliomyélite a été lancée ce 27 mars, par le gouverneur de la province du Kasaï-Central, John Kabya Shikayi.

Pendant ces trois jours, soit du 28 au 30 mars 2024, plus d’un million d’enfants de 0 à 59 mois sont attendus dans 26 zones de santé qui composent la province pour être immunisés contre ce polio-virus.

Le chef de l’exécutif provincial du Kasaï-Central a invité tous les parents à se mobiliser pour mettre fin à cette maladie qui handicape la vie des enfants.

Cette campagne, selon partenaires techniques, est organisée grâce à l’appui de l’initiative mondiale de l’éradication de la poliomyélite.

Pierre Kabakila



Au total, 1.115 cas de tuberculose ont été enregistrés dans la province du Sud-Kivu au cours de l'année 2023. Parmi ces cas, au moins 20% concernent les enfants de moins de 5 ans.

Ces statistiques ont été livrées par le Programme provincial de lutte contre la tuberculose lors d'un point de presse en marge de la journée mondiale de lutte contre la tuberculose célébrée le 25 mars de chaque année.

Selon le docteur Freddy Birembano, directeur de ce programme, les zones les plus touchées au Sud-Kivu sont Shabunda, Bunyakiri, Kalehe, Fizi, Kamituga, Itombwe, Lulingu, Kadutu et Kalole.

Il appelle à acheminer, dans des structures sanitaires, les patients qui ont une toux pour une consultation et prise en charge gratuite "si la tuberculose est confirmée". 

Le docteur Freddy Birembano rappelle que la tuberculose est une maladie contagieuse. Parmi les facteurs de risque, il cite le diabète, le VIH/SIDA, la cigarette et la malnutrition.

Dans la foulée, il souligne que d'ici 2035, son programme envisage de contrôler au maximum cette maladie et parvenir à son élimination comme problème de santé publique.

Il sied de signaler qu'en 2023, plus de 13.000 autres cas de la tuberculose coinfectés ont été notifiés au Sud-Kivu.

Déogratias Cubaka, à Bukavu



Le monde célèbre du 18 au 25 mars, la semaine de la schizophrénie. Cette maladie du cerveau affecte la pensée, les sentiments et les émotions, selon Josué Ozowa Latem, psychothérapeute.

"Un schizophrène peut percevoir des difficultés à établir un contact avec son entourage ou son environnement, avoir la sensation d'entendre des voix qui n'existent pas dans la réalité, avoir beaucoup de difficultés à différencier ce qui est réel de ce qui ne l'est pas, avoir l'impression que des personnes de son entourage lui veulent du mal, se replier sur lui-même et se comporter de façon étrange, ressentir une insécurité en permanence", précise le médecin.

D'après le psychologue, de nombreuses personnes souffrant de schizophrénie peuvent avoir un comportement normal pendant une longue période et être perturbées uniquement pendant des périodes de crise. Ces troubles surviennent surtout chez les jeunes à la fin de l'adolescence ou au début de la vie adulte, généralement entre 15 et 30 ans et évoluent sur la vie entière, souligne Dr. Latem.

Néanmoins, les personnes atteintes de cette maladie peuvent guérir si le traitement a été respecté, précise le psychologue.

"Ces personnes demandent un accompagnement de leur entourage pour les aider à se rétablir et ne pas rechuter. On doit veiller à ce qu'ils ne prennent pas des subsistances toxiques, leur éviter des stress et les mettre dans des endroits où ils peuvent vivre heureux et joyeux afin de leur permettre un rétablissement total."

Les causes de cette maladie, renchérit Josué Ozowa Latem, sont multifactorielles, parmi lesquelles on note les facteurs organiques, biologiques, psycho-sociaux, dont la consommation des subsistances psychoactives.

Pour la prévenir, le médecin recommande une hygiène de vie mentale, la non prise des subsistances toxiques, éviter toute situation de stress ou toute situation qui peut affecter la santé mentale, mieux résoudre calmement tout problème de la vie.

Nancy Clémence Tshimueneka

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Ali Kalonga

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