Les équipes du Mozambique et du Rwanda ont fait match nul 1-1 dans le groupe L des qualifications pour la CAN 2023, ce 2 juin 2022 à Johannesburg, à l’issue d’une rencontre délocalisée en Afrique du Sud faute de stade aux normes à Maputo. Les Rwandais ont ouvert le score par Blaise Nishimwe (65e) mais les Mozambicains ont immédiatement répondu par Stanley Ratifo (68e). Durant la 2e journée de cette phase de groupes, les lusophones joueront au Bénin le 8 juin, tandis que les Amavubi joueront à Dakar contre le Sénégal le 7 juin.
En revanche, l’équipe de Tunisie a bien débuté les qualifications pour la CAN 2023, ce 2 juin 2022 à Radès. Les Tunisiens ont battu la Guinée équatoriale 4-0, dans le groupe J. Les voilà en tête du classement du groupe J devant la Libye (vainqueur 1-0 du Botswana la veille), après la première journée de ces qualifications pour la CAN 2023.
Une première place que les Aigles de Carthage doivent à leur net succès 4-0 face à la Guinée équatoriale. Ce 2 juin 2022 à Radès, les Tunisiens ont dû attendre la 56e minute et un tir croisé de l’ailier Naïm Sliti pour débloquer la situation. Tout s’est enchaîné ensuite avec l’exclusion du milieu de terrain Joanet pour deux cartons jaunes (72e), une tête de l’attaquant Seifeddine Jaziri (76e), puis deux frappes du meneur de jeu Youssef Msakni (80e, 84e).
Msakni et ses partenaires vont maintenant tenter de conforter leur statut lors de la deuxième journée, avec un déplacement le 5 juin au Botswana.
Les Equato-Guinéens, eux, voudront se racheter à domicile face aux Libyens, le 6 juin.
RFI/CC
Une cérémonie d'honneurs sera organisée à l'occasion du retour des reliques de l'ancien premier-ministre congolais, Patrice-Emery Lumumba, notamment lors du passage dans la province de la Tshopo à Kisangani du 24 au 25 juin 2022.
Empêché, le président Tshisekedi demande à Modeste Bahati Lukwebo, le président du sénat de le représenter à cette cérémonie d'honneurs.
Guylain Nyembo, directeur de cabinet du président Tshisekedi l'a fait savoir au chef de l'AFDC-A à travers une correspondance lui transmise ce vendredi.
Rappelons que des travaux sont en cours à la place de l'Echangeur située dans la commune de Limete à Kinshasa, pour aménager un nouvel emplacement du monument de Patrice Émery Lumumba et d'accueillir ces reliques.
Ce site qui sera livré d'ici le 30 juin comprendra également de la verdure, les billetteries sanitaires, la salle des reliques, la chaussée, les locaux techniques, etc.
Moïse Dianyishayi
Les Léopards évoluant au pays (les Locaux) ont quitté Kinshasa ce vendredi 3 juin pour Alger où, ils prendront part à un tournoi amical international.
Cette compétition, prévue du 6 au 12 juin en Algérie, premettra aux poulains de l'entraineur Otis Ngoma de préparer les deux matches des éliminatoires du CHAN 2023 contre l'équipe nationale du Tchad.
Les selectionnés :
Gardiens
- Hervé Lomboto (DCMP)
- Jackson Lunanga (AS Dauphin Noir)
- Israël Mubobo (Don Bosco)
- Archimède Pululu (FC Renaissance)
Défenseurs
- Issama Mpeko (TP Mazembe)
- Ikoyo Iyembe (DCMP)
- Boka Issaka (TP Mazembe)
- médée Masasi (TP Mazembe)
- Lita Demani (FC Lupopo)
- Junior Lombangi (Don Bosco)
- Alite Kambo (FC Renaissance)
- Steven Ebuela (Maniema Union)
- Muimba Isala (AC Rangers).
Milieux
- Christian Nsundi (DCMP)
- Wangu Mbabu (Maniema Union)
- Michée Mika (FC Lupopo)
- Merveilles Kikasa (AS VClub)
- Peter Mutomosi (AS VClub)
- Glody Likonza (TP Mazembe)
- Mpia Nzengeli (Maniema Union)
Attaquants
- Jephté Kitambala (TP Mazembe)
- Glody Lilepo (AS VClub)
- Obed Mayamba (AS VClub)
- Adam Bossu (TP Mazembe)
- Éric Kabwe (AS VClub)
- Exaucé Tumba (US Tshinkunku)
- Zoé Sapu (FC Lupopo)
- Merceil Ngimbi (TP Mazembe)
radiookapi.net/CC
La Cour d’appel de Kinshasa/Gombe a fixé au 16 juin 2022 le prononcé de son arrêt dans le procès de Vital Kamerhe et ses coaccusés.
L'affaire a repris jeudi 2 juin et a été vidée. Les parties ont présenté leurs motifs d’appel et s'en est suivi le débat, puis les plaidoiries en soutenant leurs moyens. Le Ministère public et la partie civile ont sollicité la confirmation de l’œuvre du premier juge alors que les prévenus ont demandé l’annulation pure et simple du jugement au premier degré.
Pour rappel, le TGI/Gombe avait condamné dans cette affaire, le 20 juin 2021, Vital Kamerhe et Samih Jammal à 20 ans, Jeannot Muhima a 2 de prison. Ces peines ont été revues à la baisse au second degré et Kamerhe avait écopé de 13 ans, Jammal de 6 ans de prison et Muhima d'année de prison. Ce dernier a quitté la prison après avoir purgé sa peine. D'autres condamnés ont quant à eux bénéficié de la liberté provisoire.
Mais ce litige est examiné de nouveau au degré d’appel suite au renvoi opéré par la Cour de cassation après l'annulation de la décision de la cour d'appel.
actualite.cd/CC
Hamida Chatur, Daïda Mpiana, Soraya Mpiana, Daniel Masaro et Muytu ont fait appel du jugement rendu par le tribunal de grande instance de Kinshasa/Gombe au premier degré dans l’affaire mettant en cause Vital Kamerhe et consorts.
Ils reprochent au tribunal de les avoir condamnés en ordonnant la confiscation de leurs biens et de leurs avoirs en banque alors qu’ils n’avaient été invités à l’audience qu’à titre de simple renseignant. Ils sollicitent que l’œuvre du premier juge soit annulée et que la Cour d’appel ordonne la restitution de leurs biens.
Ces personnes proches de Vital Kamerhe n’ont pas été parties au procès au premier degré. Déjà dans son jugement du 15 juin 2021 annulé par la Cour de cassation avec renvoi, la Cour d’appel avait déclaré irrecevables les appels formés par ces parties.
La Cour d’appel de Kinshasa/Gombe a fixé au 16 juin 2022 le prononcé de son arrêt dans le procès de Vital Kamerhe et ses coaccusés.
L'affaire a repris jeudi 2 juin et a été vidée. Les parties ont présenté leurs motifs d’appel et s'en est suivi le débat, puis les plaidoiries en soutenant leurs moyens. Le Ministère public et la partie civile ont sollicité la confirmation de l’œuvre du premier juge alors que les prévenus ont demandé l’annulation pure et simple du jugement au premier degré.
actualite.cd/CC
Le procès mettant en cause Vital Kamerhe, Samih Jammal et Jeannot Muhima a repris ce jeudi 2 juin 2022 à la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe siégeant au degré d’appel. Ils ont présenté leurs motifs d’appel. La juridiction a procédé aux examens de ces motifs par rapport aux infractions à charge des prévenus, notamment le détournement des deniers publics.
Les avocats de Vital Kamerhe soutiennent qu’aucune preuve n’a été produite pour démontrer que leur client avait touché les fonds dont on lui reproche d’avoir détourné. Le premier juge a donc violé les articles 21, 23 et 145 du code pénal Congolais. La partie Jammal a, quant à lui, soutenu que l’homme d’affaires Libanais a été condamné pour détournement des deniers publics alors qu’il n’a pas la qualité de fonctionnaire de l’Etat et qu’il n’est qu’un gérant d’une Société commerciale.
Ils ont aussi relevé qu'il n'a pas commis de détournement puisque le paiement qu' ils ont reçu pour effectuer la construction des maisons préfabriquées ne provenaient pas du trésor public.
La partie civile contestant les griefs des prévenus a soutenu que les prévenus ont posé une série d’actes qui, sans leurs réalisations, l’infraction n’aurait pas été commise. Ils ont donné l’exemple d’un ordre de mission donné par Vital Kamerhe à Jeannot Muhima.
actualite.cd/CC
La demande de liberté provisoire en faveur de François Beya a formellement été effectuée ce vendredi 3 juin à l'ouverture du procès devant la haute cour militaire, qui a siégé en audience foraine au CPRK, ex Prison Centrale de Makala.
Le procès mettant en cause l’ancien “Monsieur sécurité” de Félix Tshisekedi s'est ouvert à la prison de Makala où siège en audience foraine la haute cour militaire. Aux côtés de François Beya sur le banc des accusés figurent également plusieurs de ses collaborateurs dont le colonel David Cikapa, son directeur de protocole, Guy Vanda, son secrétaire particulier, mais aussi le brigadier Tonton Twadi Sekele, le commissaire supérieur principal, Lily Tambwe Mauwa et le lieutenant-colonel Pierre Kalenga Kalenga.
Ils sont tous poursuivis pour avoir, “dans une période allant de l’année 2020 au 4 février 2022, participé à un complot en vue d’attenter à la vie du Président de la République”.
Arrêté par l'ANR le 5 février et transféré à la prison de Makala deux mois après, François Beya aurait tout d’abord instruit, selon l'accusation, son chef du protocole (et co-accusé), le colonel David Cikapa, d’acheter du matériel militaire auprès de Morane Consult, une société belge basée à Liège. Cet achat, réalisé “dans le courant de l’année 2020, sans autorisation préalable du ministère de la Défense et de la Maison Civile du président de la République”, concernerait “trois tenues militaires, un polo militaire, un sac à dos, une paire de bottines et deux ceinturons”.
Aussi, François Beya est accusé d'avoir tenu des propos injurieux contre le Président de la République et aurait couvert un de ses proches qui aurait tenu les mêmes propos à l'égard de Félix Tshisekedi. Dans l'accusation, il est aussi reproché à Beya d'avoir incité des militaires à l'indiscipline et d'avoir rencontré en 2021 John Numbi, l'ancien chef de police et ancien inspecteur des FARDC en fuite depuis 2021 serait en train de préparer un coup d'État contre Kinshasa. Selon toujours l'accusation, John Numbi, sous sanctions internationales, et cité comme commanditaire du meurtre de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, est également sous mandat d'arrêt international émis par Kinshasa.
Enfin, Beya est accusé de rétention d’informations. Il aurait ainsi caché à Félix Tshisekedi l'existence d'un réseau alimentant la milice Bakata Katanga dans le Haut Katanga. Plus grave toujours selon l'accusation, Beya aurait dissimulé à Tshisekedi un coup d'État qui se préparerait contre Kinshasa depuis la Tanzanie.
Ses avocats, qui ont soulevé quelques exceptions, ont sollicité une remise en liberté provisoire. L'affaire doit reprendre le vendredi 10 juin prochain.
actualite.cd/CC
Le procès de l'ancien conseiller spécial du président Félix Tshisekedi chargé de la sécurité, François Beya, accusé d'avoir comploté contre le chef de l’Etat, s'est ouvert vendredi devant la Haute cour militaire de la République démocratique du Congo, a constaté l'AFP.
Avec six de ses coaccusés, dont des officiers de l'armée et de la police, François Beya est poursuivi pour avoir, de 2020 à février 2022, "formé un complot contre la vie ou contre la personne du chef de l’Etat", selon la cour.
L'audience a eu lieu sous une grande tente installée dans l'enceinte de la prison centrale de Makala, en présence d'une trentaine de membres des familles des prévenus, a constaté une journaliste de l'AFP, qui a rapidement été reconduite en dehors de l'enceinte.
"Les journalistes ne sont pas autorisés à assister à l'audience, sauf ceux de la (presse de la) Haute cour militaire. C'est un ordre de la hiérarchie", a expliqué un responsable chargé de la sécurité de la prison.
En plus de François Beya, les autres personnes citées dans ce "complot" sont le brigadier Tonton Twadi Sekele (en fuite), le colonel Tite Cikapa, le commissaire supérieur principal (colonel de la police) Lily Tambwe Mauwa, le lieutenant-colonel Pierre Kalenga Kalenga et deux civils.
François Beya a été arrêté le 5 février par l'Agence nationale de renseignement (ANR), qui l'a détenu au secret avant de le transférer deux mois plus tard à Makala, la grande prison de Kinshasa.
Le 8 février, la présidence congolaise affirmait que les enquêteurs avaient à son encontre des "indices sérieux attestant d'agissements contre la sécurité nationale".
Un collectif défendant la cause de M. Beya a affirmé mercredi que ce dernier "paie pour son enquête sur un conflit minier impliquant un conseiller privé du chef de l’Etat, Fortunat Biselele et l'ancien président de la commission électorale, Corneille Nangaa".
Chef de la Direction générale de migration (DGM) sous le régime de l'ex-président Joseph Kabila (2001-2019), M. Beya est devenu en 2019 le "Monsieur sécurité" du président Tshisekedi. Il était resté à ce poste en dépit de la rupture fin 2020 entre M. Tshisekedi et son prédécesseur, après deux ans d'une cogestion conflictuelle du pays.
AFP avec CC/ACTUALITE.CD
Les députés nationaux ont examiné et voté, au cours de la plénière de ce jeudi 2 juin, la proposition de loi modifiant et complétant la loi n°06/006 du 9 mars 2006 portant organisation des élections présidentielle, législatives, provinciales, urbaines, municipales et locales telle que modifiée et complétée à ce jour.
Cette loi électorale passée par la Commission PAJ n’a subi aucun amendement selon la synthèse du rapport de ladite commission. Cette commission a retenu juste les dix (10) options qui ont été levées et adoptées par la plénière sur 18 propositions du G13.
Le travail de la Commission PAJ a consisté à traduire « fidèlement » en écriture juridique ces options levées parmi lesquelles; il y a le seuil de rentabilité des listes au prorata de 60% des sièges en compétition ; le maintien de la proportionnelle, prise en compte de la dimension genre dans la constitution des listes conformément à l’article 14 de la Constitution de la République ; la distinction des inéligibilités définitives pour les crimes graves (génocide, crimes contre l’humanité, crimes de guerre) de celles temporaires pour les autres infractions.
La proposition de G13 portant obligation de publier les résultats des élections bureau vote par bureau de vote et de le consolider dans un résultat provisoire au centre local de compilation des résultats…a été retenue.
La plénière a rendu obligatoire la publication des résultats bureau par bureau. Cette proposition de loi électorale sera envoyée au Sénat pour sa deuxième lecture.
Christian Okende
Les Léopards de la République Démocratique du Congo pourront affronter l'équipe nationale d'Iran en amical, au Qatar, dans les tout prochains jours.
D'après tasnimnews, la Fédération d'Iran de Football est en pourparlers avec la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA) pour la tenue de cette rencontre après les deux premières journées des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) Côte d'Ivoire 2023.
Outre la RDC, l'Iran négocie aussi avec le Cameroun et l'Algérie.
Rappelons que, l'équipe nationale d'Iran a remporté à 3 reprises la Coupe d'Asie en 1968, 1972 et 1976, et a participé 5 fois en phase finale de Coupe du Monde, en 1978, 1998, 2006, 2014 et 2018.
Elle occupe actuellement 21ème place au classement FIFA.
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