Il est de retour tel qu’il l’a annoncé précédemment, le célèbre chanteur congolais Fabregas Le Métis Noir vient de dévoiler sur YouTube le clip de son titre « Mystère d’amour ».
Extrait de son album « Gomme » paru il y a plus d’un an, ce single visuel tient la promesse faite par l’artiste de dévoiler bientôt une nouvelle production.
Le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) appuyé par l'agence coréenne KOICA en collaboration avec le gouvernement provincial du Haut-Uélé, a planté 1150 arbres composés de l'acacia, le petit flamboyant et le cyprès sur une distance de 5 km soit le long du boulevard allant vers l'aéroport de Matari à Isiro le mercredi 5 juin 2024 à l'occasion de la journée mondiale de l'environnement(JME) célébrée sous le thème local : "Face au changement climatique protéger la forêt, c'est notre affaire".
Cette activité, précédée d'une conférence-débat autour du même sujet et d'une caravane dans la ville, s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Programme Intégrée de Réduction des Émissions dues à la Déforestation et à la Dégradation des Forêts dans la Province du Haut-Uélé (PIREDD-HAUT-UÉLÉ).
S'exprimant au nom du représentant résident du PNUD en RDC, Joseph Oji est revenu sur le guide pratique pour la JME édition 2024 qui veut ramener la nature dans les villes, tout en appelant les participants à contribuer à la sensibilisation.
"Notre souhait est de voir celles et ceux qui ont profité et appris de cet événement de devenir ambassadeur du PIREDD Haut-Uélé en matière de la sensibilisation et de partage de meilleures pratiques environnementales pour une vie plus saine dans le Haut-Uélé, et particulièrement à Isiro. J'appelle les autorités urbaines, les structures et entités étatiques habilitées en l'occurrence de l'administration de la chefferie de Mayogo-Mabozo et de la main d'Isiro, à jouer un rôle prépondérant dans la coordination du suivi post-plantation pour s'assurer que cet investissement porte des fruits", a-t-il noté.
Le représentant du gouverneur de la province du Haut-Uélé Raphaël - Marie Masoki a invité les uns et les autres à se joindre à cette activité qui vise la protection des forêts et la préservation générale des écosystèmes environnementaux.
"J'invite donc chacun de nous à unir nos forces pour donner un coup de pouce à la nature en agissant aujourd'hui, en faisant des choix intelligents et travailler en faveur de la restauration de l'environnement. Plus concrètement, nous sommes capables, avec l'appui de nos partenaires, de faire pousser des forêts, de rendre nos villes plus vertes, de récolter de l'eau de pluie et manger des aliments respectueuses du sol. Nous serons ainsi dignes d'être une génération qui fait la paix avec la terre et qui assure la vie pour sa descendance", a-t-il lancé.
Le représentant de KOICA Yonjae Choi a pour sa part souligné que "chaque arbre planté représente un pas vers un avenir plus vert et plus durable".
La journée mondiale de l'environnement vise à sensibiliser le public et à célébrer les actions en faveur de l'environnement. Le thème mondial retenu cette édition est : "Restauration des terres, désertification et résilience à la sécheresse".
Christel Insiwe
21 nouveaux médecins ont été officiellement inscrits au tableau de l'ordre des médecins de la province de Maniema. C’était au cours d’une cérémonie organisée jeudi 6 juin dans la salle du cercle privé de la SNCC,. Prêtant serment devant le président de l'Ordre des médecins, le Docteur Charles Omesumbu Shako, ces nouveaux praticiens de la médecine ont désormais le droit d'exercer leur profession au service de la santé publique.
Le Dr. Omesumbu Shako a souligné l'importance de ces nouvelles recrues et a appelé les autorités politico-administratives à les considérer lors des affectations, en tenant compte de leurs compétences fraîchement reconnues. Il a rappelé l'article 7 du code de déontologie médicale, soulignant qu'il est impératif que seuls les médecins inscrits à l'ordre exercent légalement la profession, et a encouragé le respect strict de cette réglementation indépendamment des influences politiques.
radiookapi.net/CC
Le musicien Héritier Wata sera en concert à Paris dans les prochains jours. La salle de l’événement et la date seront communiquées dans les prochains jours, a-t-il dit.
Quelques mois après la sortie de son album « Chemin de la Gloire », Héritier Wata prévoit de sillonner d’abord les districts de la ville de Kinshasa et de se produire dans les grandes villes du pays avant d’aller couronner la sortie de son œuvre intellectuelle par une production XXL en France. Pour lui, l’album se comporte très bien sur le marché depuis sa sortie.
« Les statistiques démontrent que l’album CDG évolue très bien. Après ma prestation au Salon Congo ce samedi, je ferai probablement une tournée des districts de Kinshasa et des autres provinces. J’irai même prester en Europe, une date sera communiquée dès la semaine prochaine pour mon concert à Paris », déclare Héritier WATA sur son album « CDG » en conférence de presse.
Notons que les rumeurs annoncent la production de Héritier Wata dans la salle Adidas Arena dans les prochains jours.
ActuRDC/CC
Le procès des présumés auteurs du coup d’État manqué du 19 mai 2019 en République démocratique du Congo est ouvert , ce vendredi 7 juin 2014, à la prison militaire de Ndolo à Kinshasa.
Dès l’entame de l’audience, le Tribunal militaire de Garnison de Kinshasa/Gombe, qui statue sur cette affaire, a constaté l’absence de 2 prévenus, à savoir : Christian Malanga et Aboubakar.
En réaction, le ministère public a produit les certificats de décès attestant que ces deux prévenus sont décédés et requérant l’extinction de l’action publique à leur égard.
Répondant à ce réquisitoire, le Tribunal militaire de Garnison de Kinshasa/Gombe a prononcé l’extinction de l’action publique à l’endroit de Christian Malanga, identifié comme le cerveau de ce coup d’État, ainsi qu’à l’égard du nommé Aboubakar.
C’est dire qu’ils sont restés au nombre de 51, les présumés assaillants qui vont être jugés durant ce procès. Procédure pénale exige, le Tribunal a pris soin de les identifier par l’appel nominale avant le début de l’audience.
Au total, 7 infractions sont rétenues contre eux, à savoir : terrorisme, détention illégale d’armes et munitions de guerre, tentative d’assassinat, association des malfaiteurs, meurtre et financement du terrorisme.
Rappelons que Christian Malanga, réputé être le chef de l’équipe des assaillants qui ont tenté le coup d’État au Palais de la nation le 19 mai 2024, a été tué lors de l’intervention des forces de défense et de sécurité de la RDC.
Il conduisait un groupe d’hommes armés qui ont tenté de renverser le régime en place en RDC dans la matinée du dimanche 19 mai dernier. Ces assaillants ont d’abord attaqué la résidence de l’actuel président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, avant de se diriger au Palais de la Nation, siège officiel de l’institution président de la République.
actuRDC/CC
La CNDH-RDC -Commission Nationale des Droits de l’Homme- a, dans le cadre d'une journée d’échange et de partage d’information sur les droits humains, présenté le rapport synthèse portant sur l’état des droits de l’homme en RDC -République démocratique du Congo-de l'année 2023.
D'après ce rapport présenté par le président de cette Institution d'appui à la démocratie, Paul Nsapu Mukulu, devant plusieurs autorités du pays des secteurs confondus, réunis en la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères, cette période a été marquée par la recrudescence des conflits armés dans certaines parties de la RDC, entre autres, au Nord-Kivu, Sud-Kivu et en Ituri. Il a également été fait mention, dans ce même rapport, de la résurgence des terroristes du M23 appuyés militairement par le pouvoir de Kigali, dans les territoires de Rutshuru et Masisi.
Dans son rapport, la CNDH a également évoqué des violences intercommunautaires enregistrées dans les provinces de Tanganyika, Mai-Ndombe [territoire Kwamouth] et Kwilu [territoire de Bagata].
Toutefois, l'on note, d'après ce rapport, beaucoup d'avancées significatives dans le domaine de la protection des droits de l’homme; notamment, le désengorgement des prisons, en exécution de l’ordonnance n°21/104 du 31 décembre 2021, portant mesures collectives de grâce pour certains prisonniers remplissant les conditions prévues par l’ordonnance sus indiquée.
La matérialisation du programme "santé universelle" sur toute l’étendue du territoire national et l’organisation des élections générales, auxquelles les compatriotes de la diaspora ont participé pour la première fois dans l'histoire de la RDC, font également partie de ces avancées.
L'occasion faisant son larron, la CNDH a formulé quelques recommandations au Gouvernement de la République, au Parlement ainsi qu' à la Communauté internationale.
Au Gouvernement, la CNDH demande de fournir des efforts, pour le rétablissement de l’autorité de l’État sur toute l’étendue de la RDC; de s’engager à mettre un terme aux conflits armés avec le M23 au Nord-Kivu, avec les groupes rebelles en Ituri et les conflits Mobondo à Kwamouth et au Kwilu; de prendre des mesures et aussi des stratégies appropriées pour réduire sensiblement le banditisme.
À la Communauté internationale de sanctionner le Rwanda et que l’achat des minerais du sang par les multinationales et autres puissances occidentales auprès du pays de Paul Kagame soit formellement interdit.
Il importe de souligner qu'un autre temps fort de cette activité a été marqué par la présentation des programmes spécifiques par thème.
Serge Mavungu
Lors de son dernier concert au stade des Martyrs, l’entrée en scène du pasteur Moïse Mbiye avec des danseurs portant des flambeaux et la tête couverte avait suscité la polémique auprès de certains spectateurs.
Ces derniers y avaient vu une mise en scène à caractère démoniaque, inappropriée pour un leader religieux.
Ainsi, le pasteur musicien a tenu à rétablir le sens spirituel qu’il donnait à cette mise en scène controversée, rejetant fermement toute interprétation démoniaque comme cela lui avait été reproché.
Augustin Kabuya est sorti de son silence, après les critiques formulées à son encontre, au sujet du travail abattu en tant qu’informateur et celui des consultations initiées par Vital Kamerhe avec les regroupements politiques, avant l’investiture du Gouvernement Suminwa. D’après le secrétaire général de l’UDPS -Union pour la démocratie et progrès social-, les consultations menées actuellement par le speaker de la chambre basse du parlement ne remettent pas en cause le travail de l’informateur reconnu par la Constitution, en son article 78.
Alors que certains prédisaient déjà un malaise au sein de la famille politique du chef de l’État, Félix Tshisekedi, Augustin Kabuya, membre du Présidium de l’USN -Union sacrée de la Nation-, clarifie sa mission de l’informateur, tout en invitant les uns et les autres à privilégier la concorde, surtout au sein de la majorité parlementaire.
Pour lui, les consultations initiées par la chambre basse n’ont rien à voir avec l’identification de la majorité parlementaire reconnue à l’information et déjà réalisée.
« Le travail mené par le bureau de l’Assemblée nationale, avec son président Vital Kamerhe, n’a rien à voir avec les consultations menées par ma modeste personne, en tant qu’informateur. Au moment où nous parlons, il y a une majorité bien identifiée au sein de la chambre basse du Parlement. J’avais bien identifié la majorité, et c’est ce qui a même poussé le Président de la République à nommer l’actuelle Première ministre issue de l’UDPS », a-t-il indiqué.
A l’instar des regroupements politiques reçus par Vital Kamerhe, dans le cadre des consultations, Augustin Kabuya donne, lui aussi, son quitus pour l’investiture du Gouvernement Suminwa.
Il sied de noter qu’après deux jours d’intenses consultations, les députés nationaux via le bureau définitif de l’Assemblée nationale, ont finalement donné leur quitus pour l’investiture de l’équipe gouvernementale dirigée par Judith Tuluka Suminwa. Jusque-là, la date précise pour l’investiture n’est pas encore officiellement arrêtée. A l’issue de l’échange avec le chef de l’État, à la cité de l’Union africaine, Vital Kamerhe a évoqué la date du 10 soit du 11 juin prochain.
opinion-info.cd/CC