La lecture constitue un levier essentiel pour le développement cognitif, social et émotionnel des jeunes. Selon plusieurs experts, elle permet de renforcer les compétences linguistiques, d'encourager l’empathie et d’améliorer la compréhension du monde.

« Se plonger dans un livre, c’est souvent se mettre à la place d’un personnage, comprendre ses émotions et ses motivations », soutient un spécialiste de l’éducation. 

Outre ses bienfaits psychologiques, la lecture joue un rôle fondamental dans la réussite académique. Elle facilite l'acquisition de connaissances, la compréhension de concepts complexes et la performance scolaire. Instaurer une habitude de lecture dès le bas âge favorise l’amour de l’apprentissage tout au long de la vie. 

Cependant, en RDC, cette culture peine à s’ancrer dans le quotidien des jeunes. Des enquêtes révèlent un désintérêt marqué pour la lecture chez plusieurs jeunes Congolais, y compris chez les étudiants. Nombreux sont ceux qui ne lisent que par contrainte, à l’approche des travaux pratiques ou des examens. Ce désengagement est perçu comme un frein à l’épanouissement intellectuel. 

Pour Evariste Tundaken, bibliothécaire à l’Université de Mazenod (UDMAZ), ce constat est alarmant.

« La plupart des jeunes n'ont pas cette culture là, et malheureusement nous constatons ce vice lorsqu'un jeune termine son cursus universitaire sans avoir consulté ne serait-ce qu'une bibliothèque. Et de part mon expérience, lorsque je pose la question aux jeunes de savoir s'ils ont déjà été dans une bibliothèque, ils me disent souvent non. ‎Et ils sont très souvent confrontés aux exigences des professeurs qui demandent qu'ils fréquentent d'abord une bibliothèque pour l'avancement de tout type de travaux », affirme-t-il à ACTUALITE.CD

Les bibliothèques, quant à elles, se positionnent comme des piliers incontournables de la promotion de la lecture. Elles mettent à disposition un large éventail de ressources telles que des livres, revues et/ou magazines accessibles. En plus de leur rôle éducatif, elles servent aussi de lieux de rencontre, de dialogue intergénérationnel et de préservation du patrimoine culturel. 

« La bibliothèque est un outil de travail indispensable, même à l’ère du numérique. Le papier reste important. Le numérique vient en appui, mais ne remplace pas la richesse des documents physiques », insiste Evariste Tundaken.

Tina Malamba, étudiante, pense que la lecture est importante malgré le numérique auquel il est possible de s’adapter.

‎« La lecture est importante, je plains certains jeunes comme moi qui négligent cette culture. C'est vrai, on ne nous a pas habitué à lire, mais le monde est en train d'évoluer et nous devons aussi évoluer à son rythme. Moi j'aime lire et j'invite les jeunes à lire comme moi pour leur épanouissement », dit-elle.

‎Dans l'ensemble, la lecture est essentielle pour le développement global des jeunes. Elle favorise non seulement des compétences académiques, mais aussi des compétences émotionnelles et sociales, préparant ainsi les jeunes à devenir des adultes bien équilibrés et épanouis.

‎Marianne Enungu, stagiaire UCC



Tous les accords issus de différents processus de paix en cours seront examinés au Parlement avant leur signature, a affirmé le président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, au cours de la plénière du mardi 20 mai.

Le président de l'Assemblée nationale rendait compte aux députés de l'audience lui accordée la veille par le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi. Cette rencontre était centrée essentiellement sur des « questions importantes de la Nation ».

Dans sa communication, le speaker de la chambre basse du Parlement, a assuré les députés nationaux que ces différents accords de paix feraient l’objet d’un examen minutieux en plénière. Selon lui, il ne s'agira d'aucune remise en cause de l’intégrité territoriale ni d'aucun bradage des minerais du pays :

Trois processus politiques sont en cours pour le retour de la paix, la souveraineté, l’intégrité territoire de la République démocratique du Congo :

  1. La rencontre de Doha au Qatar entre le M23 et le Gouvernement Suminwa,
  2. Les échanges qu’entretient l’ancien président nigérian Olusengune Obasanjo avec la classe politique congolaise,
  3. L’accord de paix attendu à Washington entre le Rwanda et la RDC après la déclaration de principes.

Prolongation de l’état de siège

La plénière de l’Assemblée nationale a par la suite examiné le projet de loi portant autorisation de la prorogation de l’état de siège sur une partie du territoire national. Elle a ainsi autorisé la prorogation de l'état de siège dans le Nord-Kivu et l'Ituri. Le même exercice avait été effectué par le Sénat.

radiookapi.net/CC



Après la condamnation à 10 ans de travaux forcés de son client Augustin Matata Ponyo par la Cour constitutionnelle, Me Laurent Onyemba s’est dit déçu de l’arrêt rendu ce mardi 20 mai.

L’avocat parle d’un arrêt « contradictoire et inique ». Il déplore notamment le fait que la Cour n’ait pas procédé à la levée des immunités de l’ancien Premier ministre, aujourd’hui député national.

« Monsieur Matata a dit : je suis député, je jouis des immunités. Donc, pour me juger, il faut respecter la procédure. Cela n’a pas été fait. L’Assemblée nationale a pris une position. Nous avons soulevé une batterie d’exceptions liées à l’incompétence et à l’irrecevabilité de l’action. Mais la Cour a décidé de joindre toutes ces exceptions au fond. Pour nous, la décision, pour autant qu’elle soit décevante, ne nous effraie pas, ni ne nous contrarie », a-t-il affirmé.

L’ancien Premier ministre Augustin Matata Ponyo a été reconnu coupable de détournement de deniers publics alloués au projet du parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo.

La Cour l’a condamné à 10 ans de travaux forcés et à 5 ans d’inéligibilité, l’interdisant de voter et d’accéder à des fonctions publiques. De leur côté, l’ancien gouverneur de la Banque centrale du Congo, Déogratias Mutombo, et l’homme d’affaires sud-africain Christophe Grobler ont également été condamnés à 10 ans de travaux forcés pour participation criminelle à l’infraction de détournement des deniers publics.

Absents lors des dernières audiences, les prévenus ont été jugés par défaut. Matata Ponyo, de son côté, avait soulevé plusieurs exceptions et dénoncé des « violations de la Constitution » dans la conduite de ce procès. La Cour constitutionnelle a toutefois affirmé sa compétence pour juger l’ancien Premier ministre.

Cette affaire, lancée en 2021, a connu plusieurs rebondissements. Au départ, la Cour constitutionnelle s’était déclarée incompétente pour juger un ancien Premier ministre, avant de se rétracter plus tard et de se déclarer finalement compétente.

Lionel Kibuluku



 L’ancien Premier ministre Augustin Matata Ponyo a été condamné mardi,  par la Cour constitutionnelle de la République démocratique du Congo  à 10 ans de travaux forcés pour détournement de deniers publics alloués au projet du parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo, lors d’une audience tenue à Kinshasa.

« La Cour constitutionnelle dit établie en fait comme en droit l’infraction de détournement de deniers publics portant sur la somme de 158.849..413  dollars américains, mise à charge des prévenus Augustin Matata Ponyo  et Kristo Grobler, condamne chacun à 5 ans de travaux forcés.  Dit établie en fait comme en droit l’infraction de détournement de la somme de 89 millions de dollars américains mise à charge des prévenus Augustin Matata et Déogratias Mutombo Mwana Nyembo. En conséquence, les condamne chacun à 5 ans de travaux forcés. Dit que les deux infractions de détournement de deniers publics  commises par le prévenu Augustin Matata Ponyo sont en concours matériel, le condamne de ce chef à une peine  cumulée de 10 ans de travaux forcés », a prononcé Dieudonné Kamuleta Badibanga, président de la Cour constitutionnelle. 

La Cour a, en outre, prononcé les peines supplémentaires portant interdiction pour 5 ans, après l’exécution de la peine principale, du droit de vote et d’ éligibilité en ce qui  concerne les prévenus Augustin Matata et Déogratias Mutombo, l’interdiction d’accès aux fonctions publiques et paraétatiques quel qu’en soit l’échelon à charge des mêmes prévenus, la privation du droit à la condamnation et à la libération conditionnelle ainsi qu’à la réhabilitation à charge des prévenus Matata Ponyo et Déogratias Mutombo ; a ajouté le juge président Dieudonné Kamuleta. Par ailleurs, la Cour a aussi prononcé l‘expulsion définitive du territoire de la RDC, après l’exécution de la peine à charge du prévenu   Grobler Kristo, ordonné la confiscation des biens au prorata de la somme  détournée de  158.849.413 dollars  pour les prévenus Matata Ponyo et Globler Kristo et 89 millions de dollars américains pour les prévenus Augustin Matata et Déogratias Mutombo, avant de condamner  chacun de ces  prévenus au tiers des frais d’instance, payable  dans le délai légal, à défaut, ils subiront une contrainte par corps de 30 jours, a conclu le président de la Cour constitutionnelle.

Dans la motivation de son arrêt, la cour a répondu aux exceptions soulevées par les avocats du prévenu Matata  concernant son incompétence de juger un ancien Premier ministre en précisant l’’article 163 de la Constitution  fixe la compétence personnelle de la Cour constitutionnelle et  l’article 164 en fixe la compétence matérielle, en tenant compte du moment de la cristallisation de l’infraction ; tout en soutenant , de ce fait, qu’ elle est compétente pour juger un Premier ministre  pour les actes commis à l’ occasion de l’exercice de ses fonctions. » a rappelé Dieudonné Kamuleta. En ce qui concerne la demande de réouverture de débats introduite par les avocats de Kristo Grobler, la cour a noté que la réouverture de débats n’est possible avant le prononcé que dans le cadre de la survenance d’un fait nouveau ou des éléments de preuves essentielles non examinées au cours de l’instruction, soulignant qu’en l’’espèce elle ne fera pas droit à cette procédure, dilatoire qui vise manifestement à retarder la procédure mais aussi parce qu’ il y a absence d’un fait nouveau et pertinent », a dit le juge président Kamuleta. 

ACP/CC



Arrivé ce matin à l’aéroport parisien, le chanteur congolais Ferre Gola a été accueilli par de nombreux journalistes, dont la figure bien connue Papa Rolls. À quelques semaines de son grand concert prévu le 7 juin à Bruxelles, l’artiste a notamment été interrogé sur les récents éloges de la chanteuse camerounaise Charlotte Dipanda à son égard.

Éloge de Charlotte Dipanda, mais pas de confirmation de collaboration

Interrogé sur les louanges récemment adressées par Charlotte Dipanda à son talent, Ferre Gola est resté sobre mais clair dans sa réponse : “Elle chante bien. Charlotte Dipanda est une grande chanteuse africaine.”

La question d’une éventuelle collaboration musicale entre les deux artistes a aussitôt été soulevée, mais Ferre Gola est resté discret, se contentant d’un sourire énigmatique, sans confirmer ni infirmer un featuring avec la star camerounaise.

Le suspense reste entier pour le concert de Bruxelles

Quant à une possible apparition surprise de Charlotte Dipanda lors du concert de l’ING Arena de Bruxelles le 7 juin prochain, Ferre Gola n’a donné aucune précision, entretenant ainsi le mystère autour de cet événement très attendu par ses fans.

L’enthousiasme autour de ce concert continue de monter, avec une billetterie qui se vend bien. Le public espère assister à des moments inédits sur scène, mais Ferre Gola reste pour l’heure très discret sur les surprises qu’il réserve.

Une arrivée discrète et mesurée

Cette arrivée parisienne de Ferre Gola, sobre et sans fioritures, contraste avec l’agitation médiatique qui entoure souvent les déplacements des artistes de renom. Le chanteur congolais a choisi de rester mesuré dans ses déclarations, préservant le suspense autour de ses projets à venir.

Un positionnement qui témoigne de la maturité de Ferre Gola, désireux de laisser la musique et les performances sur scène parler d’elle-même, plutôt que de nourrir les spéculations.

mbote/CC



Ce dimanche 18 mai, à partir de 17h30, les amoureux du 7e art sont invités au Terrain Comète à Kinshasa pour vivre une nouvelle édition du Ciné sous les étoiles, une expérience cinématographique en plein air, riche en émotions, en découvertes et en surprises.

À la question de savoir ce qui attend le public ce soir-là, Hénoc Kiyombo, initiateur du projet, promet une séance cinématographique riche.

« Ce  qui attend les cinéphiles, c'est vraiment une expérience assez riche du cinéma en plein air. Donc on ne peut réserver qu'une séance concoctée de plusieurs surprises bien évidemment, mais surtout avant tout un meilleur plaisir du cinéma en plein air », dit-il à ACTUALITE.CD

Il précise que le public devra s’attendre à quelques éléments inattendus 

« Au-delà de de la programmation assez unique qu'on réserve, il y aura entre autres des surprises qu'on ne peut pas dévoiler d'emblée. Mais c'est aussi ça la magie  du ciné sous les étoiles. C'est qu'on ne sait pas s'attendre à ce qui va se passer », affirme-t-il.

Concernant le film “Léa”, qui sera projeté, Hénoc Kiyombo partage la raison du choix porté sur ce long métrage qui est un film ayant fait récemment son apparition en soulignant l’importance de la thématique abordée.

« Le film, le titre c’est Léa. Parce que tout simplement, c’est un long métrage qui vient de sortir récemment et qui fait assez de bruits, qui n’est pas un film congolais du Congo  Kinshasa mais du Congo Brazzaville. Et surtout, la thématique abordée dans le film, c’est ce qui a fait en sorte qu’on soit beaucoup plus partant à pouvoir accompagner son avant-première à Kinshasa, mais surtout faire ce regard croisé entre 2 cinémas », explique-t-il.

Pour lui, cette projection est aussi l’occasion de favoriser un échange entre deux pays frères.

« Nous sommes les 2 pays les plus proches du monde et partager nos regards autour du 7e Art. Des sujets assez uniques et assez importants. C’est toujours un grand privilège et surtout un grand bonheur de faire cet échange culturel », souligne Henoc. 

Sur le fond du film, le message est clair. Il insiste sur les violences sexuelles qui constituent un problème en milieu scolaire aujourd'hui mais qui généralement passe sous silence ou inaperçu.

« En tout cas, le message qu’on voudrait que le public ou la communauté du ciné sous les étoiles de Kinshasa retiennent après la production de ses films, c’est le fait qu’on dénonce les violences sexuelles en milieu scolaire. C’est un fléau, c’est devenu un fléau. Il y a des scandales par ci et là, mais en parler et chercher à dénoncer cela avec une forte énergie. On ne le fait pas. Et le cinéma qui reste un vecteur non seulement de communication, mais surtout d’éveiller les consciences », ajoute Henoc Kiyombo.

Il est à noter que les  Ciné sous les étoiles, s’étend  dans  plusieurs villes  de la RDC. Les contraintes dans l'organisation restent inévitables mais malgré les difficultés, l’équipe ne perd pas espoir.

« On a maintenant 6 villes, ça c’est connu. Mais il faut que dans 6 villes , nous ayons, ça reste un projet ambulant. Mais l’idée c’est d’avoir des espaces en plein air ciné sous les étoiles dans toutes ces villes là. À chaque fois, il faut louer le matériel, il faut faire voyager les équipes... L’idée c’est avoir dans chaque ville une équipe, avoir nos propres matériels pour que ça nous évite le fait de commencer à louer à chaque fois... afin que voilà, les projets soient complètement autonomes et ne dépendent plus de qui que ce soit pour évoluer », conclut l’initiateur du projet.

Ciné sous les étoiles est une initiative cinématographique lancée par Henoch Kiyombo, visant à démocratiser l'accès au septième art en RDC. Son concept repose sur l'organisation de projections de films, principalement congolais, en plein air, offrant ainsi une expérience conviviale et accessible au public. Au-delà du divertissement, ce projet a pour ambition de mettre en lumière les productions cinématographiques locales et de dynamiser la culture du cinéma en RDC, contribuant à créer des espaces de partage et de découverte artistique au sein de la communauté.

Benedicte Mbuku, stagiaire UCC 



La RDC -République démocratique du Congo- célèbre, ce samedi 17 mai 2025, la Journée de la Révolution et des Forces Armées, une date hautement symbolique marquant le souvenir du renversement du régime de Mobutu en 1997 et l’avènement de l’AFDL -Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo-. Ce jour est aussi consacré à l’hommage rendu aux vaillants militaires, qui se battent pour la paix, l’unité et la souveraineté du pays.

À cette occasion, le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a salué la mémoire de tous les soldats tombés au champ d’honneur, rappelant que "la Journée de la Révolution et des Forces Armées de la RDC est l'occasion de rendre hommage à nos héros, à ceux qui ont donné leur vie pour la paix et la souveraineté de notre pays."

Dans une publication solennelle diffusée sur les plateformes officielles de la Présidence, le Chef de l'État a souligné l'importance de perpétuer l'engagement patriotique. "Que leur sacrifice continue d'inspirer notre engagement, pour une RDC forte, unie et résiliente", a-t-il déclaré.

En cette période de défis sécuritaires persistants dans l’Est, cette commémoration prend une portée particulière, renforçant la cohésion nationale autour des valeurs de bravoure, de loyauté et de résilience.
 
Prehoub Urprus


Le gouvernement de la République Démocratique du Congo a décidé de déclarer le 17 mai comme jour férié chômé et payé sur l’ensemble du territoire national. Cette décision, prise par la ministre de l’Emploi, du Travail et de la Prévoyance Sociale, Claudine Ndusi M’kemba, fait suite à l’ordonnance n°23/042 du 30 mars 2023 établissant la liste des jours fériés légaux en RDC.

Autrefois célébré comme la Fête de la Libération de l’AFDL, ce jour revêt désormais une nouvelle symbolique en tant que Journée des Forces Armées de la RDC. Cette commémoration souligne l’importance et la contribution des forces armées congolaises à la défense de la nation et au maintien de la paix.

À travers cette journée chômée et payée, le gouvernement entend rendre hommage aux hommes et aux femmes qui servent avec courage et dévouement au sein des Forces Armées de la RDC. C’est également l’occasion de célébrer l’histoire et la résilience du pays, marquées par des événements historiques comme la chute du régime Mobutu et l’avènement de nouvelles aspirations démocratiques.

 

En faisant de cette date un jour férié, les autorités congolaises reconnaissent le rôle essentiel de l’armée dans la protection de la souveraineté nationale et la promotion de la stabilité au sein du pays. Cette journée symbolise l’unité et la solidarité de la nation congolaise envers ses héros et héroïnes militaires.

Ainsi, le 17 mai s’inscrit désormais comme un moment privilégié de célébration et de reconnaissance envers les Forces Armées de la République Démocratique du Congo. Un témoignage de l’engagement indéfectible du pays envers la défense de ses valeurs et de son peuple.

Cette décision traduit la volonté du gouvernement de mettre à l’honneur le rôle prépondérant de l’armée dans la construction d’une RDC plus sûre et prospère. Une façon de renforcer le lien entre la population et ses forces de défense, garant de la souveraineté et de l’intégrité territoriale.
 
mbote/CC
 
 

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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